Atelier du roman (L'), n° 111. Adalbert Stifter : avant que la nature disparaisse

Atelier du roman (L'), n° 111. Adalbert Stifter : avant que la nature disparaisse

Editeur(s) Buchet Chastel
Date de parution : 01/12/2022

Quatrième de couverture :

Stifter était loin d'ignorer l'omniprésence du funeste et du désastreux dans l'existence, mais il fit le choix de n'exalter - plus ou moins follement ! - que le bénéfique et l'avantageux, de ne nous décrire que l'idylle possible entre le monde naturel et les hommes.
Denis Grozdanovitch.

À L'instar de Goethe faisant du poète un guide et un prophète, Stifter campe l'écrivain, prêtre du beau, gardien de ce qui est durable en nous par-delà les anecdotes qu'il raconte, il l'égale aux plus grands bienfaiteurs du genre humain.
Eryck de Rubercy.

Le hasard est l'un des grands mots de Stifter, élément, présence constitutive de son univers : il convient, témoigne-t-il, d'acquiescer à ces dons du chemin, à ne pas les écarter.
Claude Dourguin.

Lire Stifter c'est accepter de respirer lentement, en silence, loin des foules. Peu d'écrivains ont su évoquer, comme lui, un monde aussi différent de celui où nous vivons aujourd'hui.
Thomas Pavel.

Entre L'Arrière-saison et aujourd'hui, il y eut, plusieurs fois, la destruction du monde, il y eut la reconstruction, et maintenant le monde mis en réseau, pris dans les filets du www - mais ce livre, lui, resplendit sur sa colline comme la « Maison des Roses ».
Arnold Stadler.

Il est important de souligner que ce dualisme [...] cherche non seulement à séparer le corps et le Moi mais avant tout à rendre le Moi hiérarchiquement supérieur au corps.
Trevor Cribben Merrill.

Le roman est l'art, par définition, de l'éternelle dissonance entre l'être et le paraître, entre le réel et les idées. Le jeu, maintenant qu'il a commencé, ne prendra fin qu'avec celle de l'homme.
Patrice Jean.

Il y a chez Pavese le rejet du leurre romantique des origines pures et totalement positives des cultures anciennes, produit par le nietzschéisme et notamment, en ce qui concerne le mythe des mers du Sud, par l'oeuvre du jeune médecin Victor Segalen.
Riccardo Pineri.

Dès 1945, dans Le Zéro et l'Infini, Arthur Koestler avait délivré une spectroscopie, devenue mythique, des mécanismes de la terreur et de l'étouffement staliniens, explorés de l'intérieur, en détail, avec une force et une lucidité incomparables.
François Taillandier.

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Ean : 9782283037317
Format et Reliure : Revue
Pages : 190
Hauteur : 25.0 cm
Largeur : 17.0 cm
Epaisseur : 1.4 cm