
Je m'appelle Koja
Je m'appelle Koja
Je m'appelle Koja s'inscrit dans une tradition littéraire qui semble ne pas connaître de frontière : la quête de liberté d'un enfant plein de malice. Le héros kazakh grandit dans un village isolé entre steppes et montagnes. Orphelin de guerre, le garçonnet fait les quatre cents coups, pratique l'école buissonnière, s'initie au braconnage, se chamaille avec ses camarades de classe, tombe amoureux et fugue. La soif d'émancipation de Koja est démesurée, à l'image des plaines de l'Asie centrale que le garçon parcourt à cheval ; rien ne semble pouvoir arrêter ses frasques. Rien, sauf ses talents de poète qu'il dévoile à travers un récit d'aventure dont le vrai héros est sans doute la nature kazakhe.
Dans les années 1960, Je m'appelle Koja, indubitablement l'oeuvre maîtresse de Berdibek Sokpakbaïev, a fait l'objet d'une adaptation cinématographique soviétique remarquée.
(sous réserve de confirmation)
Largeur : 14.0 cm
Epaisseur : 1.6 cm